A History of the Grandparents I Never Had
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Originally published in French under the title Histoire des grand-parents que je n'ai pas eus.






Originally published in French under the title Histoire des grand-parents que je n'ai pas eus.
'Exhilarating . . . a work of scholarship, but also inspiration. . . Go and read Jablonka and change the world' Christina Patterson, Sunday Times 'An unexpected bestseller in France. . . it has sparked conversations' Challenges A highly acclaimed, bestselling work from one of France's preeminent historians What does it mean to be a good man? To be a good father, or a good partner? A good brother, or a good friend? In this insightful analysis, social historian Ivan Jablonka offers a re-examination of the patriarchy and its impact on men. Ranging widely across cultures, from Mesopotamia to Confucianism to Christianity to the revolutions of the eighteenth century, Jablonka uncovers the origins of our patriarchal societies. He then offers an updated model of masculinity based on a theory of gender justice which aims for a redistribution of gender, just as social justice demands the redistribution of wealth. Arguing that it is high time for men to be as involved in gender justice as women, Jablonka shows that in order to build a more equal and respectful society, we must gain a deeper understanding of the structure of patriarchy - and reframe the conversation so that men define themselves by the rights of women. Widely acclaimed in France, this is an important work from a major thinker.
Innovatively blending history with literary techniques, Ivan Jablonka explores how writing shapes our understanding of social sciences. He posits that the act of writing is essential to knowledge production, advocating for its integral role throughout the research process. By employing diverse narrative styles, Jablonka argues that disciplines like history, sociology, and anthropology can enhance their rigor while reaching broader audiences, transforming scholarly work into a compelling literary experience.
In der Nacht vom 18. auf den 19. Januar 2011 wird Laëtitia Perrais 50 Meter von ihrem Haus entfernt entführt, dann erstochen, erwürgt und zerstückelt. Die Lokalnachricht weitet sich zu einer Staatsaffäre aus: Der damalige Präsident Nicolas Sarkozy benutzt den Fall, um seine Law-and-Order-Politik durchzusetzen. 8000 Juristen gehen auf die Straße. Und auch die Medien instrumentalisieren Laëtitias Tod für ihre Zwecke. Ivan Jablonka nähert sich der Nachricht wie einem historischen Gegenstand und Laëtitias Leben als einer sozialen Tatsache: Ihre Biografie lässt den Zustand einer Gesellschaft erkennen, in der Jahre der Sparmaßnahmen die Sozialsysteme geschwächt haben und Gewalt gegen Frauen zum Alltag gehört. Doch wer war Laëtitia? Wie kann man ihre Geschichte erzählen, ohne sie von ihrem Ende her aufzurollen? Gegen alle Erzählungen, die den Täter zum Gegenstand haben, möchte Ivan Jablonka Laëtitia ihre Würde zurückgeben. Er trifft Familienangehörige, Freunde und Protagonisten der Ermittlung und wohnt 2015 dem Prozess des Mörders bei. Zusammen mit den Aussagen der befragten Zeugen entsteht eine sensible, vielstimmige Erzählung über das Leben eines vernachlässigten Mädchens in einem »Wohlfahrtsstaat«. »Eines der besten Beispiele dafür, was aus der Auflösung der Grenzen der Literatur entstehen kann, ist für mich das Buch Laëtitia ou la fin des hommes von Ivan Jablonka, das die Grenzen zwischen Geschichtsschreibung, Soziologie, Reportage und Literatur ins Wanken bringt und mit seinem Rhythmus und seiner Sprache einen unwiderstehlichen Sog entwickelt.« - Annie Ernaux, Le Monde
"Le camping-car nous a emmenés au Portugal, en Grèce, au Maroc, à Tolède, à Venise. Il était pratique, génialement conçu. Il m'a appris à être libre, tout en restant fidèle aux chemins de l'exil. Par la suite, j'ai toujours gardé une tendresse pour les voyages de mon enfance, pour cette vie bringuebalante et émerveillée, sans horaires ni impératifs. La vie en camping-car."--Page 4 of cover
« Je suis parti, en historien, sur les traces des grands-parents que je n’ai pas eus. Leur vie s’achève longtemps avant que la mienne ne commence : Matès et Idesa Jablonka sont autant mes proches que de parfaits étrangers. Ils ne sont pas célèbres. Pourchassés comme communistes en Pologne, étrangers illégaux en France, Juifs sous le régime de Vichy, ils ont vécu toute leur vie dans la clandestinité. Ils ont été emportés par les tragédies du XXe siècle : le stalinisme, la Seconde Guerre mondiale, la destruction du judaïsme européen. »
Le narrateur, marqué par la vie, passe son temps dans une chambre d'hôtel à Marrakech quand sa soeur est victime d'une hémorragie cérébrale.
Ivan Jablonka (ur. 1973), francuski historyk, wykładowca akademicki, wyrusza w podróż śladami swoich żydowskich dziadków, młodych działaczy komunistycznych ze sztetla w Parczewie. Kolejne dokumenty znalezione w archiwach polskich oraz francuskich, a także rozmowy z członkami rodziny rozsianymi w świecie pozwoliły autorowi zrekonstruować historię dziadków, którzy po kolejnych odsiadkach w polskich więzieniach za działalność w nielegalnej KPP uciekli z Polski do Francji w 1937, a stamtąd zostali w 1943 roku deportowani do Auschwitz, gdzie zginęli. Książka to osobista podróż autora w czasie, próba poznania rodzinnej historii, ale też zrozumienia własnej tożsamości.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, un million et demi d'enfants juifs ont été assassinés. En 1945, ceux qui vivent encore sont, à proprement parler, des survivants. Cachés pendant la guerre, rescapés des camps, orphelins, confiés à des maisons d'enfants ou élevés par des parents brisés, tous sont voués à grandir dans l'ombre de la Shoah. Comment se construire lorsqu'on porte un si lourd héritage ? Qu'ils aient grandi en France, en Grande-Bretagne, en Pologne, en Israël, aux États-Unis, ces enfants ont appris un métier, se sont mariés, ont mené leur vie comme tout un chacun. Ils ont raconté - ou omis de raconter - leurs épreuves à leurs propres enfants, qui sont devenus, nolens volens, les dépositaires de leur histoire.-- Provided by Publisher
Si l'"ère du témoin" s'achève, ce n'est pas simplement parce que les rescapés meurent les uns après les autres ; c'est aussi parce que les formes mêmes du témoignage s'épuisent. Par ailleurs, la génération des Poliakov, des Hilberg, des Klarsfeld, des Friedländer a érigé la Shoah en discipline historique et fixé le cadre général de toute étude : leur héritage est devenu un socle. Mais déjà d'autres formes, d'autres sources, d'autres questionnements émergent : comparatisme, histoire économique, micro-histoire, enquête familiale, etc. Le champ d'études que constitue la Shoah se caractérise aujourd'hui par son ouverture et son dynamisme. Ce livre présente les nouvelles tendances de l'historiographie et le renouvellement de la mémoire qu'elles impliquent. Avec des contributions de Annette Wieviorka, Ivan Jablonka et Tal Bruttmann.