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Françoise Xenakis

    27 de septiembre de 1930 – 12 de febrero de 2018
    Moi j'aime pas la mer
    Zut, on a encore oublié madame Freud...
    Mouche-toi, Cléopâtre
    J'aurais dû épouser Marcel
    Désolée, mais ça ne se fait pas
    Maman, je ne veux pas être empereur
    • Maman, je ne veux pas être empereur

      • 320 páginas
      • 12 horas de lectura

      Néron, l'empereur sanguinaire et fou. Néron, l'incendiaire de Rome. Néron, l'Antéchrist... Peu de personnages historiques ont gardé une réputation aussi noire. C'est ce qui a donné à Françoise Xenakis l'idée d'aller voir de plus près. On sait moins, par exemple, que Néron supprima les impôts des plus pauvres, ferma le temple de la Guerre et interdit les jeux du cirque. Mais derrière la silhouette falote du jeune empereur s'en dresse une autre, bien plus redoutable : celle d'Agrippine, la mère frustrée du pouvoir, qui aligne les crimes et programme impitoyablement son fils, lui refusant la moindre autonomie, afin de régner par procuration... Faits et personnages sont ici rigoureusement authentiques. Mais l'éclairage change. Avec autant de malice que de perspicacité, Françoise Xenakis nous dépeint l'histoire d'une mère et d'un fils sous un angle étonnamment moderne.

      Maman, je ne veux pas être empereur
    • J'aurais dû épouser Marcel

      • 189 páginas
      • 7 horas de lectura

      Françoise Xenakis est née en 1930 en Sologne, la sombre Sologne des étangs, des brouillards et des jeteuses de sorts. Le temps venu, elle est allée fouiller dans ses éclats de souvenirs et raconte ces étranges femmes que l'on appelait dans son village les "veuves blanches ". C'étaient, pour la plupart, d'anciennes gamines de l'Assistance publique, débarquées un beau jour d'un car bringuebalant et placées dans les fermes. Les gars, eux, devenaient charretiers, les filles vachères, et, aussi perdus les uns que les autres, ils se mettaient le plus souvent à la colle". En 1914, les garçons furent mobilisés et il n'en revint pratiquement pas. On ne les déclara même pas morts au champ d'honneur, mais disparus. Que faire de ces jeunes femmes seules au village? On les logea dans un minuscule lotissement bâti pour l'occasion et la République leur octroya une modeste pension. En échange de quoi, une loi non dite exigeait d'elles une chasteté absolue, l'entretien de l'église et des tombes à l'abandon. Ces vieilles filles ne cessèrent de fantasmer sur le retour de leur homme. On retrouve dans ces histoires la truculence, la drôlerie, le culot de Françoise Xenakis, et son immense tendresse pour les perdants.

      J'aurais dû épouser Marcel
    • Zut, on a encore oublié madame Freud...

      • 256 páginas
      • 9 horas de lectura

      Eh oui, il y avait une Mme Freud ! Une gracieuse et sereine bourgeoise mais que son instinct et quelques "images" d'enfance avaient instruite très tôt de ces choses que son cher Sigi peinerait tant à découvrir... Et Mme Marx, vous connaissez? Elle s'appelait Jenny von Westphalen, et c'était une jolie baronne. Dans l'ombre du génial et coléreux prophète, l'attendait une vie écrasée par la plus noire misère. Et Xanthippe, la femme-enfant de Socrate, était-elle vraiment la méchanceté même? Et Adèle Hugo étaitelle réellement aussi sotte? Dans ces biographies semi-imaginaires et pimentées d'érotisme, Françoise Xenakis a voulu sauver de la médisance ou de l'oubli ces femmes qui toutes ont vécu un amour hors du commun. Mais qu'il est dur parfois d'être l'épouse d'un grand homme!

      Zut, on a encore oublié madame Freud...