This book explores the cyclical nature of capitalism, highlighting how periods of productive expansion inevitably lead to crises of overproduction. It discusses the shift to neoliberalism and globalization as responses to these crises, exacerbating social inequalities and environmental destruction, with a stark contrast between wealth distribution among the global population.
Il libro analizza la crisi come stato "normale" del capitale, evidenziando il ciclo di accumulazione e la sovrapproduzione. Esamina l'esaurimento del regime di accumulazione post-bellico e le risposte neoliberiste che hanno aumentato le disuguaglianze, culminando in una crisi ecologica minacciosa per il pianeta.
Ce livre analyse la crise comme un état normal du capitalisme, où chaque cycle d'accumulation se termine par une surproduction. Il examine l'épuisement du régime d'accumulation de 1945-1970 et les réponses néolibérales face à la crise, tout en soulignant l'accroissement des inégalités et la crise écologique qui en résulte.