Sigmund Freud, suite et poursuite
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Pokus o vystižení osobnosti toxikomana na základě poznatků i hypotéz psychoanalýzy a aplikace těchto závěrů na problém osobnosti konce tohoto tisíciletí.
Confondre, comme on le fait souvent "violence" et "agressivité", c'est méconnaître la spécificité d'une violence naturelle, innée chez tout être vivant, nécessaire à la survie de l'individu (et de l'espèce). Les mécanismes d'intégration à la personnalité de cette violence fondamentale font l'objet de cet ouvrage qui a enrichi la psychanalyse d'une notion devenue incontournable.Cette nouvelle édition comporte un nouvel avant-propos et une postface traitant de la prévention.
Psychanalyste clinicien et formateur rigoureux, Jean Bergeret se montre soucieux de remettre sans cesse en question les données pour en approfondir les nuances et les contradictions. Ses travaux actuels portent sur l'existence d'un instinct violent primitif, qui n'a rien à voir avec la haine ou l'agressivité mais présente une énorme importance des points de vue relationnel, éducatif et social. Ce nouvel ouvrage entend montrer comment cet instinct opère, à travers des exemples choisis dans la vie de tous les jours, et il indique quelles attitudes peuvent permettre de traiter ou de prévenir les dérapages possibles de cet instinct violent, par ailleurs si naturel et positif. Un livre qui ne s'adresse pa seulement aux psychopathologues, mais peut éclairer tous ceux qui s'inquiètent des désordres causés par la dépressivité comme par les débordements comportementaux de nos contemporains.
Vor dem Hintergrund der gegenwärtigen geopolitischen Ereignisse und der weltweit präsenten Bedrohung durch den Terrorismus gewinnen Jean Bergerets Thesen aktuell an Brisanz. Die von ihm eingeführte Urfantasie des »Ich oder Du«, die es zu überwinden gilt, kennzeichnet zahlreiche Diskurse entsprechender Gruppierungen. Anders als das Freud’sche Konzept des Todestriebs, das Bergeret für philosophische Spekulation hält, basieren Bergerets Beobachtungen auf der Allgegenwärtigkeit von Gewalt. In Ergänzung zu Freud, der den Sexualtrieb als persönlichkeitsprägenden Faktor definiert hat, geht Bergeret von einer der Libido vorgelagerten Kraft aus, die die Psychogenese und damit die Persönlichkeitsstruktur des Menschen lebenslang und nachhaltig beeinflusst: dem archaischen Gewalttrieb. Dieser bestimmt das unbewusste Erleben in der vorsprachlichen Zeit und entfaltet seine Wirkung vor der ödipalen Triangulierung, die von Freud ins Zentrum der Forschung gestellt wurde. In dieser Zeit steht dem subjektiv empfundenen »Mangel zu sein« ein Gewalttrieb gegenüber, bei dem allein das eigene Überleben zählt – zur Not auch unter Inkaufnahme der Tötung des Anderen.