François Gaudry Libros

"ÅQuâe tiene que suceder para que nos veamos obligados a redefinir nuestra idea de la infancia? La apariciâon de treinta y dos niänos violentos de procedencia desconocida trastoca por completo la vida de San Cristâobal, una pequeäna ciudad tropical encajonada entre la selva y el râio. Veinte aänos despuâes, uno de sus protagonistas redacta estaRepâublica luminosa,una crâonica tejida de hechos, pruebas y rumores sobre câomo la ciudad se vio obligada a reformular no solo su idea del orden y la violencia sino hasta la misma civilizaciâon durante aquel aäno y medio en que, hasta su muerte, los niänos tomaron la ciudad"--Casadellibro.co

Sepúlvedas 35 «Randgeschichten» erzählen kritisch von Missständen dieser Erde, von Eigenheiten spanischsprachiger Länder sowie kulturellen Unterschieden gegenüber dem Leben in Deutschland. Dabei sind der wirtschaftliche Kolonialismus im Amazonasgebiet, die ökologischen Verbrechen sowie anderes schwerwiegendes Unrecht - unter anderem der jüdische Holocaust, das Leben eines Chilenen im deutschen Exil, aber vor allem der Kampf um Demokratie in Chile während Pinochets Diktatur - Hauptthemen dieser außergewöhnlichen Sammlung von Erzählungen. Luis Sepúlveda, 1949 in Chile geboren, musste wegen seines politischen Engagements seine Heimat verlassen und lebte u.a. über zehn Jahre in Deutschland im Exil. Er arbeitete als Journalist und für die UNESCO. Heute lebt Sepúlveda in Spanien. Sein Werk wurde in zahlreiche Sprachen übersetzt und erhielt wichtige Auszeichnungen. Der Band enthält die als Pflichtlektüre im niedersächsischen Abitur angegebenen Kurzgeschichten «Las rosas de Atacama», «Tano» und «¡Salud, profesor Gálvez!».

Un bled perdu au Mexique, un cadavre de jeune fille, un assassin trop malin pour se faire pincer et un innocent à qui on fait endosser le crime. Les villageois réclament "le prix du sang", mais les flics sont trop pourris pour agir. Malgré lui, un brave garçon est poussé à jouer les vengeurs... Un conte d'amour et de mort, un vaudeville sanglant arrosé de tequila.

Depuis plusieurs années, le vieux loup du Grand Sud annonçait qu'il travaillait à un livre sur les Naufrages, qu'il avait conçu, semble-t-il, comme une sorte de prise de congé. Il en a achevé la rédaction peu avant le début de cette année 2002 qui le verra fêter ses 92 ans. Comme toujours chez lui ou presque, on a affaire à l'un de ces livres inclassables, hirsutes, où la fiction et l'autobiographie poursuivent une étrange partie de cache-cache. Ecrit dans le sillage du Passant du bout du monde (Phébus 2000), qui avait surpris la critique par sa verdeur intacte, par sa jeunesse déraisonnable, Naufrages peut se lire comme le chant d'adieu d'un homme qui s'est toujours ingénié à conformer sa vie - et son œuvre aux rands rêves de son enfance. Une leçon de fidélité. Et une nouvelle invite à prendre le large...