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Alain Deloche

    Chirurgien du bout du monde
    Un éléphant blanc, ça ne change pas de couleur
    Leur vie, c'est ma vie
    • Leur vie, c'est ma vie

      • 176 páginas
      • 7 horas de lectura

      DES ENFANTS, DES MIRACLES, DES HISTOIRES " Comment combler le fossé médical qui sépare les continents ? D'un côté, l'excellence de la médecine ; de l'autre, la fatalité, le renoncement, le drame. Comment conjurer l'injustice du lieu de naissance ? "Ils s'appellent Amina ou Tao, Moïse, Fanta, Yamin... Hier, ils étaient des enfants malades, victimes de la pauvreté en Afghanistan, au Laos, au Congo, au Mali, en Iran... Aujourd'hui, leur sourire témoigne de leur guérison : grâce à l'intervention des médecins et des chirurgiens de La Chaîne de l'Espoir, ils ont été pris en charge et retrouvent le cours de leur vie.En vingt-six ans, l'association fondée par le professeur Alain Deloche a soigné 200 000 enfants dans trente pays, formé des médecins et construits cinq hôpitaux.De ces milliers d'enfants qu'il a aidé à sauver, Alain Deloche retient ici quelques images, quelques portraits. De belles histoires pleines de vie, qui nous parlent de ces destins tragiques heureusement transformés par la médecine et d'une humanité qui ne connaît pas de frontières.

      Leur vie, c'est ma vie
    • Quand, à l'âge de la retraite, il a quitté ses fonctions de chef du pôle cardio-vasculaire de l'hôpital Georges-Pompidou, Alain Deloche n'a pas été trop affecté. Une autre vie l'attendait ailleurs, à La Chaîne de l'espoir qu'il avait créée des années auparavant, pour venir en aide aux enfants des pays défavorisés qu'une simple opération pouvait sauver d'une mort imminente.C'est cette fabuleuse aventure qu'il nous raconte dans ce livre. Car l'humanitaire est loin d'être une simple affaire de bons sentiments ! Ça commence ici par des " bricolages ", au Vietnam, au Cambodge ou ailleurs, dans des structures hospitalières de fortune où l'on s'aperçoit en pleine opération à cœur ouvert qu'on a oublié l'oxygène ou le sang pour les transfusions. Sans doute vaut-il mieux opérer les enfants à Paris. Ils seront des milliers, mais les faire venir n'est pas une sinécure.Pour progresser, il faut aussi se répandre dans les médias afin de trouver l'argent nécessaire. Ça ne marche pas toujours, mais il arrive qu'un couple vienne vous trouver et vous dise : " Professeur, on a été émus par vos propos, on veut faire un petit geste... " Quatre millions d'euros ! De quoi envisager la construction d'un hôpital ! Mais il va en falloir beaucoup plus pour réaliser le rêve d'Alain : construire sur place des centres hospitaliers. Il l'a fait. À Saigon, au Cambodge, à Dakar, à Bamako, au point qu'on l'appelle désormais " Professeur briques-béton ".Sauf que construire ne suffit pas, on doit aussi assurer la formation des équipes sur place. Sauf que de nos jours, en certains lieux, le " bon docteur blanc " est devenu un ennemi et doit apprendre à " sauver sans périr ".Alain Deloche s'en rend compte, mais ne renoncera jamais à sa mission. " Parce qu'on ne peut pas priver les gens de tout sous prétexte qu'ils n'ont rien. "

      Un éléphant blanc, ça ne change pas de couleur