Auschwitz und kein Vergessen: 1944 deportiert, überlebte Jospeh Bialot die Hölle des Lagers bis Januar 1945. Mehr als ein halbes Jahrhundert verging, bis er seine traumatischen Erinnerungen in Worte fassen konnte: Prügel, Hunger fortschreitende Entmenschlichung. Doch auch die zarte Liebe zu einer jungen Französin „an einem von Flammen umgebenen Ort“. Die Stimme eines Einzelnen genügt, um erneutes Staunen und Entsetzen hervorzurufen. „Haben nicht Bücher und Filme diese Geschichte bereits erschöpfend erzählt? - Man möchte es manchmal meinen. Doch die Stimme eines Einzelnen genügt, um erneutes Staunen und Entsetzen hervorzurufen. Nichts und niemanden wird man vergessen. Joseph Bialots nüchtern-präzise Erinnerungen sind vom Rang eines Primo Levi und Jorge Semprun.“ Le Nouvel Observateur „Viele schwiegen, andere fanden ihre Sprache spät - doch sie bohren sich in die Seele.“ Yves Kugelmann in „Tacheles“ „In Ausschwitz verlor jedes Individuum auf brutale Weise jeden zivilisatorischen Lack. Im Lager präsentierte sich jedes Menschenwesen nackt unter einem riesigen Mikroskop, das millionenfach vergrößert die Niedrigkeit und die Größe des Menschen offenbarte.“ Joseph Bialot
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Le Sentier est un beau quartier. On y rencontre des stylistes, des commerçants, des putains, à tous les coins de rue et même, parfois, un tueur. Un tueur qui aime, qui adore la mode et qui la coupe et la façonne au ciseau électrique ou... au rasoir.
La station Saint-Martin est fermée au public
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A la fin de la Seconde Guerre mondiale, un jeune homme agonisant est ramassé par des soldats américains sur une route allemande parsemée de cadavres. Surnommé Alex, il a tout oublié de l'enfer qu'il a traversé. jusqu'à son propre nom. La seule identité qui lui reste, c'est un matricule tatoué sur l'avant-bras gauche. Auschwitz. Soigné par des médecins militaires français, il réapprend à vivre et découvre l'amour avec son infirmière. Lentement, reviennent par bribes les images de son passé : l'arrestation, la détention au camp de Gurs, dans les Pyrénées, et sa déportation. Au gré de son errance dans un Paris qui, comme lui, veut panser les plaies de la guerre, les éléments épars de son existence reprennent chair. Un nom frappe sa mémoire, celui d'une station de métro, disparue au moment de la mobilisation générale. La retrouver, c'est renouer les fils d'une mémoire occultée, refaire le chemin qui mène jusqu'à soi-même.
Rue du Chat Crevé
- 183 páginas
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Les puces ? Vous connaissez, n'est-ce pas ? Biron Vernaison, Paul Bert n'ont plus de secrets pour vous ? Tandis que, coincé entre un buffet Henri II et une ceinture de chasteté du XIIe siècle, Nino et ses copains cherchent eux aussi le mouton à cinq pattes, le nerf de la guerre, l'objet rare : l'argent. Mais la mort, elle aussi, rôde dans Saint-Ouen. Du côté de la rue du Chat Crevé.
Belleville s'écroule, s'émiette, s'accroche. Belleville qui crève sous les assauts des bulldozers. Maisonnettes rasées, jardinets retournés, rue effacées, c'est maintenant Belleville-béton-crasse qui mène la danse..
"Le matin du 27 janvier 1945, j'ai vu des morts redevenir vivants". Joseph Bialot, arrêté et déporté en juillet 1944, est l'un des rares Français à avoir vécu la libération d'Auschwitz par les Soviétiques. Mais être libéré, est-ce être libre ? Derrière lui, des compagnons qui ne reviendront pas. Devant, une vie à reconstruire. Le début de "soixante-cinq années de fausse résurrection" comme il le dit lui-même. Ce livre est le témoignage d'un homme happé par la machine de mort. Le récit tragique et parfois burlesque de plusieurs mois d'errance, de Cracovie à Odessa, avant de rejoindre la France en mai 1945. La chronique d'une renaissance des plus douloureuses.