What was his grandmother thinking when she bought Benjamin such a strange
present: an empty pink suitcase! To his mother's horror, Benjamin is not only
drawn to the suitcase-he absolutely loves it. Spanning the generations, The
Pink Suitcase is a warm-hearted and amusing tale about being different and
celebrating the individual.
Alexander ist weder besonders klein noch besonders groß. Die Zeit in der Schule verbringt er mit Träumereien, anstatt sich für den Unterricht zu interessieren. Und auch im Sport ist Alexander vor allem dafür bekannt, über seine eigenen Füße zu stolpern. Kurzum: Alexander ist mittelmäßig. Supermittelmäßig. In allem, was er tut - selbst im Blödsinnmachen. Dabei wäre Alexander so gern ein bisschen mehr wie sein berühmter Namenspate Alexander der Große. Doch das alles ändert sich, als ihm sein Onkel eines Tages eine große Überraschung mitbringt ...
Niełatwo pożegnać stare drzewo, które opiekowało się twoim snem. Przełknąć
gorycz rozstania z przyjacielem, z którym co dzień biegało się po schodach.
Porzucić przymałą kuchnię, w której nie można było wspólnie zjeść obiadu.
Niełatwo się wyprowadzić, kiedy się jest dzieckiem.
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres filles de la classe avaient déjà remarqué...
Ernest, 10 ans, a vécu une enfance ennuyeuse chez sa grand-mère, sans télévision ni imagination. Tout change avec l'arrivée de Victoire, une élève pétillante, qui va bouleverser sa vie. À partir de 10 ans.
Je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semblait que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j'ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le palier, le crayon - un affrontement muet, mais plein de bruit. Ce que nous n'arrivions pas à nous dire à voix haute est sorti plus facilement sur la feuille en nous servant de l'humour comme garde-fou. Pas une suite de petits événements, de querelles sans grande continuité, sans véritable logique ni raison se déroule le drame du couple mère-fille. Peut-être avons-nous appris par ce jeu d'écriture à vivre notre amour ? S.M. Je me suis toujours réfugiée dans le silence ; cachée sous le voile du secret, je peux me replier sur moi-même pour vivre toute seule mes histoires de petite fille qui refuse de grandir, qui voit avec angoisse approcher d'année en année le cap symbolique des dix-huit ans. Mais vient le moment où le voile se déchire, où le mystère se dissipe : le moment d'ouvrir les yeux et de voir. Voir qu'il y a les Autres et que parmi eux, il y en a Une qui me regarde grandir et à qui ma quête de solitude fait mal. Et comme je ne peux utiliser cette parole orale " vivante " qui en dit trop et pas assez pour montrer l'amour que je porte à ma mère, un amour qui vit grâce aux disputes et aux rapprochements, à un duel continuel et continué, j'ai tenté de l'exprimer par l'écrit en laissant agir les mots sur le papier magique. A.M.