The book offers a scholarly analysis of Shakespeare's final seven plays, set against their historical and cultural backdrop. Renowned experts in the field contribute insights that enhance understanding of the themes, characters, and dramatic techniques employed during this pivotal period in Shakespeare's career. This contextually rich examination aims to deepen appreciation for the complexities and innovations present in these late works.
L’inspectrice Maud Graham enquête dans le milieu théâtral de Québec qui semble frappé par une étrange malédiction. De jeunes comédiennes sont sauvagement assassinées. Les victimes sont retrouvées étranglées, barbouillées de terre, les cheveux coupés enfouis dans leur bouche. Qui est l’auteur de ces meurtres crapuleux? Qui déteste ces comédiennes au point de les assassiner? Quelles sont les vraies raisons de ces mises en scène macabres?
Alexandra, jeune Québécoise, vient d'arriver en France. A l'école, elle rencontre Antoine, Gabriel et Too-Hi-Li. Il se passe des choses étranges autour d'eux et le professeur de chimie a un comportement vraiment bizarre. Intrigués, les quatre amis décident de l'espionner.
Delphine aime les hommes, la photographie et son chat Edward. Celui-ci le lui rend bien. Doutant des choix amoureux de sa maîtresse, il décide de lui trouver un mari. Il connaît déjà l’amant qu’il destine à Delphine ; un homme très bon qui l’a soigné lors d’une traversée vers la Nouvelle-France en 1670… Edward espère qu’il s’est, comme lui, réincarné et qu’il habite aujourd’hui à Paris. La tâche est ardue. Heureusement, Catherine, sorcière sous Henri IV, lui a transmis un don : la télépathie. Edward n’a qu’à flairer un homme pour deviner ses intentions - aussi ne se méfie-t-il pas sans raison d’un trop bel Américain qui rôde autour de la photographe. Edward aura besoin de tous ses talents pour faire le bonheur de cette Delphine adorée qui sent la chantilly, les feuilles d’un plant de tomates et la rose de Turquie. Un roman d’amour sur fond de polar, avec un zeste de gastronomie, des esquisses historiques, beaucoup d’odeurs et de caresses, et le regard fidèle mais lucide d’Edward sur l’étrange race des bipèdes.