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Sŏg-yŏng Hwang

    4 de enero de 1943
    Le Prisonnier
    Mater 2-10
    Familiar Things
    The Shadow of Arms
    The Old Garden
    Al atardecer
    • Al atardecer

      • 176 páginas
      • 7 horas de lectura

      Al terminar la conferencia, una joven se acerca a Minwoo Park, director de un gran estudio de arquitectura, y le entrega una nota, con un nombre y un número de teléfono. La joven es Woohee Jeong, una directora de teatro que vive en un semisótano mohoso, quien para llegar a fin de mes trabaja todas las noches en un supermercado y se alimenta de la comida caducada que tendría que tirar. En el crepúsculo de su vida, Minwoo Park tiene la satisfacción de haber triunfado, contribuyendo a la modernización de su país, a pesar de haber nacido en la pobreza. Pero, con la nota, reaparecen los recuerdos del pasado, invitándole a sumergirse en un mundo que había olvidado. Se ve forzado entonces a interrogarse sobre la corrupción que reina en el ámbito de la construcción, su propia responsabilidad en el afeamiento del paisaje urbano y la violencia ejercida contra los expropiados.

      Al atardecer
    • The Old Garden

      • 544 páginas
      • 20 horas de lectura

      The book, translated into English in 2009, offers a rich narrative that delves into its characters' intricate lives and the cultural backdrop that shapes their experiences. It explores profound themes of identity, belonging, and the human condition, making it a compelling read for those interested in nuanced storytelling. The translation captures the original's essence while making it accessible to a wider audience, ensuring that the depth of the narrative resonates with readers from diverse backgrounds.

      The Old Garden
    • The Shadow of Arms

      • 576 páginas
      • 21 horas de lectura

      Set against the backdrop of Da Nang during the Vietnam War, this novel offers a unique perspective through the eyes of a South Korean mercenary. It intricately explores the black markets and the multifaceted nature of war, presenting a narrative rich with intrigue and complex subplots. While vividly depicting battle scenes, the story transcends mere conflict, delving into the human condition and the shared experiences of individuals caught in the turmoil of war, making it a compelling read that captures the essence of humanity amid chaos.

      The Shadow of Arms
    • Familiar Things

      • 216 páginas
      • 8 horas de lectura

      This book has extensive daily and online review coverage, along with giveaways on platforms like Litsy and Goodreads. Advance reader copies were available in October 2017, and galleys can be found on Edelweiss. Co-op options are also available.

      Familiar Things
    • International Booker-nominated virtuoso Hwang Sok-yong is back with another powerful story -- an epic, multi-generational tale that threads together a century of Korean history. Centred on three generations of a family of rail workers and a laid-off factory worker staging a high-altitude sit-in, MATER 2-10vividly depicts the lives of ordinary working Koreans, starting from the Japanese colonial era, continuing through Liberation, and right up to the twenty-first century. It is at once a powerful account that captures a nation's longing for a rail line to reconnect North and South, a magical-realist novel that depicts reflect the lives of modern industrial workers, and a culmination of Hwang's career -- a masterpiece thirty years in the making. A true voice of a generation, Hwang shows again why he is unmatched when it comes to depicting the grief of a divided nation and bringing to life the cultural identity and trials and tribulations of the Korean people.

      Mater 2-10
    • Très tôt épris de liberté, Hwang Sok-yong aura consacré toutes ses ressources, sa plume d’écrivain et son énergie incroyable à la défense de la démocratie et la réconciliation des deux Corée. L’écouter raconter l’histoire de sa vie, c’est traverser avec lui tous les combats pour la liberté qui ont animé la Corée depuis plus d’un demi-siècle, avec leur cortège d’exactions, de massacres, d’espoir et de ferveur.Hwang Sok-yong place la prison au cœur de son récit. En 1993, il est condamné à sept ans de détention pour s’être rendu en Corée du Nord sans autorisation. Depuis sa cellule individuelle de trois mètres carrés, entre condamnés à mort et chefs de gangs, il mène dix-huit grèves de la faim pour améliorer les conditions de vie de ses compagnons de prison.C’est une vie de résistance, toujours sur la ligne de front, mais au fil des pages on découvre d’autres figures que celle de l’écrivain militant, qui lui donnent une épaisseur de chair et d’émotion. Bon vivant, bon buveur, enfant réfugié de guerre, adolescent rebelle et fugueur, fils admiratif d’une Mère Courage qui élève seule quatre enfants et bien des fois le tire du gouffre, ce qui frappe le plus, c’est son extraordinaire vitalité, sa puissance créative, la générosité et l’obstination sans limite avec lesquelles il met ses forces d’homme et ses dons d’écrivain au service de la justice et de la liberté.

      Le Prisonnier
    • À la fin du XIXe siècle, Shim Chong, vendue adolescente, traverse les horreurs de la traite des enfants en Asie du sud-est. Son parcours initiatique illustre une saga de la prostitution et des métiers de la séduction, sur fond de guerre de l’opium et d’impérialisme occidental, dans une fresque romanesque d'Hwang Sok-yong.

      Shim Chong, fille vendue
    • Qu'il s'agisse d'amour perdu, d'incertitudes intimes, de réussite sociale ou du désir de retrouver ses origines, une seule réalité parcourt ces quatre récits de Hwang Sok-Yong : le déchirement. Chaque personnage doit l'affronter, non seulement autour de lui, dans une Corée marquée au fer rouge par une violente scission politique, mais plus profondément encore, dans sa chair. Tout l'art de Hwang Sok-Yong est de nous restituer le cœur même de ce peuple, crépitant de vie, imprégné de douleurs et d'incertitude, d'humour aussi, parfois, mais toujours vibrant d'espoir... " Voici une œuvre qui refuse de fermer les yeux devant la douleur, mais qui refuse aussi de se laisser détruire par la destruction - un beau défi lancé grâce à l'écriture." Diane de Margerie, Le Figaro littéraire

      La route de Sampo